Les professionnels de santé de la MSP Airvault/ Saint Loup dans le cadre de la SISA Val du Thouet ont pu bénéficier d’une formation aux gestes des premiers secours en collaboration avec les pompiers d’Airvault.
Une formation pertinente et riche qui a également pu rassembler les professionnels dans un cadre inhabituel mais convivial sur 3 soirées.
À l’origine, cette résidence pour personnes retraitées est une création sociale de la Caisse d’Epargne de Thouars. Sa construction a été réalisée par l’Office Public Intercommunal des Habitats à Loyers Modérés (OPIHLM) suivant les plans de l’architecte Jack Le Coguiec.
Le foyer a été inauguré le 23 novembre 1970. Il est alors destiné à accueillir 84 personnes âgées. Il propose des logements pour 56 personnes seules et 14 couples. Les studios sont répartis sur 4 niveaux dans le même esprit que les collectifs HLM. Des appartements plus grands sont reliés aux bâtiments principaux par un passage couvert. L’ensemble des logements est accompagné de salles proposant des services collectifs : lieu de rencontre (salon), bibliothèque, salle de réunion avec possibilité de culte, salon de coiffure, salle de restaurant… Par ailleurs, la résidence est implantée au centre d’un parc agrémenté d’arbres.
Le fonctionnement de la résidence a été conçu, de façon à ce que les personnes qui s’y installent, se créent un nouveau foyer. Chacun dispose, pour son usage personnel, d’un studio confortable. Chaque résident peut également apporter son mobilier personnel.
Dans les années 1970, cette résidence hôtelière reçoit des retraités de la Caisse d’Epargne, assez aisés. Par la suite, à partir des années 1980, les employés de la SNCF ont le droit à trois ans d’hébergement gratuit dans ce type de résidence. La population que reçoit » l’Ecureuil » à cette époque, change et le public accueilli est plus large. À partir de 1984, l’OPAC rachète l’établissement, sa dénomination devient la résidence Molière en lieu et place de » l’Ecureuil « . À partir de cette date, et jusqu’en 1989, elle devient progressivement une véritable maison de retraite devenue Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées et Dépendantes (EHPAD).
Plusieurs tranches de travaux ont eu lieu depuis 1994. La réhabilitation des façades a permis de transformer, dans les chambres existantes, les balcons peu utilisés par les résidents. Ils sont allongés et fermés par une ossature en bois créant ainsi un espace salon, sorte de loggia de 6 à 9 m². Cette dernière évolution modifie nettement l’architecture extérieure du bâtiment. Les travaux ont également permis l’agrandissement de l’établissement, avec une mise aux normes et une amélioration du confort intérieur.
Après la marche des Pink Thouars Ladies dimanche dernier, la CPTS était à nouveau présente sur le territoire. Cette fois-ci au marché d’Airvault. L’occasion de sensibiliser le public présent au dépistage et à la palpation des seins. Ce sont plus d’une soixantaine de femmes qui ont ainsi pu être sensibilisé, notamment grâce aux mannequins de la CPTS pour la palpation.
Varicelle ? Pied main bouche ? Conjonctivite ?
Quelles sont les maladies qui nécessitent une éviction scolaire ? Pour combien de jour ?
Retrouvez ce document de référence du médecin conseiller technique de la direction des Services départementaux de l’éducation nationale, accompagné d’un tableau maladies contagieuses concernant les enfants en âge scolaire.
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Tableau des Evictions scolaires et maladies contagieuses
Le mardi 26 septembre dernier, la CPTS de Parthenay BigUp Santé a organisé la première rencontre inter cpts d’accueil des internes du territoire.
L’occasion de faire découvrir les territoires grâce à un questionnaire interactif concocté par les coordinatrices des CPTS de Parthenay Thouars et Bressuire. L’occasion également pour les MSU (maitres de stage universitaire) de se rencontrer dans un moment convivial au « Coupe Gorge » bar musical à Parthenay.
Il y a 62 ans, avant le COVID 19, une autre vaccination était obligatoire. La vaccination contre la Diphtérie, le Tétanos, la Typhoïde, et les paratyphoïdes A et B (TABDT).
Comment s’organisait cette vaccination au sein des territoires en 1948 à la sortie de la guerre?
Extrait de « Souvenirs d’un médecin de campagne » de Jacques Farisy, né en 1923 à Confolens, il fait ses études de médecine à Poitiers mais il passe toutes les vacances chez sa grand-mère à la campagne au milieu des paysans.
En 1951, il s’établit à Usson-du-Poitou.
La vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la typhoïde, et les paratyphoide A et B (TABDT) est obligatoire depuis 1938, mais, en raison de la guerre, l’application de cette mesure attendra jusqu’en 1948.
Elle concerne tous les jeunes nés avant 1945. Ceux nés après 1945 sont recensés dans un autre chapitre, vaccinés individuellement par leur médecin traitant ou en séances publiques dans les mairies.
Je ne traiterai que des séances de 1948.
L’âge des bénéficiaires s’étale de cinq à trente ans. Quelques cas particuliers obligent
à vacciner des personnes plus âgées.
Ce sont des centaines d’individus à vacciner.
Cette tâche est confiée aux médecins de campagne désignés par la préfecture.
Le médecin d’U… a la responsabilité de quatre communes, soit une population de quatre mille habitants.
Il ne peut pas, comme ses autres confrères, assumer seul ce travail. Il fait appel aux internes de l’hôpital de Poitiers.
Je viens à U… trois fois (une fois toutes les deux semaines), pendant deux jours, à raison de trois heures le matin et trois heures l’après-midi.
Organisation des séances:
Le lieu : la mairie.
Les sujets : les « vaccinables », porteurs de leur convocation, d’une pièce d’identité, d’un flacon d’urine (ou d’un résultat d’analyse par un pharmacien).
Le personnel : le secrétaire de mairie, le garde champêtre pour assurer la discipline, une sage-femme (il n’y a pas d’infirmières dans les campagnes), le vaccinateur.
Le matériel : une lampe à alcool à brûler, deux casseroles, un broc d’eau de cinq litres, une cuvette émaillée pour recueillir les urines après analyse, un « haricot », deux seringues de dix centimètres cubes, quatre boîtes de vingt-cinq aiguilles hypodermiques, des ampoules de vaccin de dix centimètres cubes, un paquet de coton hydrophile, un flacon d’alcool à quatre-vingt-dix degrés, deux tubes à essais.
Le rôle de chacun :
– le secrétaire de mairie vérifie la liste des
vaccinables : les absents, les excusés, les malades à ne pas vacciner, etc. ;
-la sage-femme effectue les analyses d’urine. Elle surveille que l’eau bout en permanence dans la casserole sur la lampe à alcool. L’analyse doit détecter la présence d’albumine car, si elle est positive, le candidat sera éliminé et son médecin traitant informé ;
– Le vaccinateur utilise une des seringues de dix centimètres cubes dans laquelle il aspire la totalité d’une ampoule de vaccin. Il adapte une aiguille qu’il prend dans la casserole, où elles subissent l’ébullition. Il utilise un tampon de coton hydrophile qu’il imbibe d’alcool et injecte un centimètre cube dans une des fosses sus-épineuses du patient. Il enlève l’aiguille puis la met à tremper à nouveau dans l’eau en perpétuelle ébullition.
Il prend une autre aiguille et les opérations se succèdent..
Les incidents ?
Le vaccinateur oublie de changer d’aiguille..
– Le vaccinateur utilise le même tampon alcoolisé sur plusieurs clients..
– Le receveur hurle de douleur après l’injection du vaccin : l’examen de l’aiguille dévoile qu’elle est émoussée… à éliminer ! …
– La dose injectée est de deux centimètres cubes mais souvent la dose sera de zéro virgule huit ou de un virgule trois..
Conclusion:
Tout se passe bien, il n’y aura aucune complications, pas d’abcès secondaires.
Une remarque : le vaccinateur et la sage-femme ne portaient ni blouse blanche, ni bon-
net, ni gants, ni masque !
Retrouvez lors de cette table ronde n°3:
Joel Drapeau: Pratiquant du Rugby santé à Thouars
Afi Zita Messan: Chercheuse en géographie du sport santé
Gérard Mousin: patient expert Association Française des diabétiques
Dr Buenos: Chirurgien bariatrique, responsable du dispositif ROSA au sein du CHNDS
Henriette Caron: Pratiquante de la gymnastique Aquatique
Laurence Carrere: kinésitherapeute, reposable de la gymnastique aquatique
Sébastien Pogorzelski: Educateur sportif et fondateur du club de Crossfit « Two Goats »
Bastien Bichon: Coordinateur du dispositif PEPS
Retrouvez toutes les actions Octobre Rose en partenariat avec la CPTS Thouarsais Val de Thouet
Saves the Date OCTOBRE 2023:
Les Vieilles branches d’Octobre Rose dans le quartier des Capucins à Thouars:
Octobre
Espace numérique Santé Airvault:
9/10
Marche des Pink Thouars Ladies square F.ROOSVELT:
15/10 8h-10h
Marché d’Airvault
Action CPTS Octobre Rose:
21/10 9h-12h30
FMC Violence Conjugale
Station T:
16/11 20h
Espace numérique Santé Airvault: 9/10
Espace numérique Santé Airvault:
9/10
Marche des Pink Thouars Ladies square F.ROOSVELT: 15/10 8h-10h
Marche des Pink Thouars Ladies square F.ROOSVELT:
15/10 8h-10h
Marché d'Airvault Action CPTS Octobre Rose: 21/10 9h-12h30
Marché d’Airvault
Action CPTS Octobre Rose:
21/10 9h-12h30
FMC Violence Conjugale Station T: 16/11 20h
FMC Violence Conjugale
Station T:
16/11 20h
Table ronde du forum sport santé du 8 septembre 2023 consacré à l’activité physique pendant la période périnatale.
Les participants de cette table ronde sont:
Isabelle Granger: Sage Femme au CHNDS responsable de la gymnastique aquatique chez les femmes enceintes aux bassins du Thouet
Iri Takako: Sage Femme du réseau périnatalité en Nouvelle Aquitaine
Justine Fradin: Maître Nageuse responsable des bébés nageurs
Léa Romain: Maître Nageuse responsable des bébés nageurss
Pour aller plus loin , retrouvez la conférence de Carina Enea sur les bienfaits de l’activité physique chez la femme enceinte sur UPTV
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Retrouvez le questionnaire d'aide à la prescription d'activité physique chez la femme enceinte le QAAP